Étoffe nécessaire : 10 mètres de satin, 3 mètres 50 centimètres de brocart et 2 mètres de mousseline de soie.
Jupe (fig.15-18)
fig.15 à 18 Patron de la jupe (réduit au 30e)
Corsage du dessus (fig.19-20)
fig.19 Moitié du devant en étoffe de dessus
fig.20 Dos en étoffe de dessus
Corselet (fig.21-24)
fig.21 à 24 Moitié du corselet
Cette robe, faite en satin crème et brocart de même nuance, est garnie de dentelle blanche. On coupe la jupe en satin et doublure de faille, d’après les figures 15 à 18 ; on la munit d’une doublure raide jusqu’à mi-hauteur ; on la recouvre avec du brocart ; on exécute les plis, on fixe devant un noeud et sur le côté un petit sac retenu par de longs bouts de ruban. Le corsage décolleté en satin et doublure et coupé d’après les figures 5, 6, 9 à 11, 13 et 14 ci-dessus ; on recouvre les premiers petits côtés avec de la mousseline de soie posée à plat ; on assemble dos, devants et seconds petits côtés ; on les recouvre avec des morceaux de mousseline de soie froncés jusqu’à l’étoile ainsi que sur l’épaule, coupés d’après les figures 19 et 20. On assemble le corsage, on le ferme derrière ; on le garnit au bord inférieur avec un bouillonné de mousseline de soie ; on y fixe les manches ; ces dernières sont garnies en forme d’épaulettes avec de la dentelle.
Corselet. On coupe en brocart et doublure deux morceaux d’après chacune des figures 21 à 24, on les assemble, excepté depuis 37 à 38, sur le côté gauche ; on garnit le corselet avec un galon de passementerie.
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